GABON : Comment prélèvent-ils les organes humains, le cas de la langue

Lorsque l'on parle de "crime rituel", les autorités gabonaises s'en offusquent ; non pas à cause du caractère odieux et horrible de ce type particulier d'assassinat, mais du terme utilisé dans le langage courant pour distinguer ces crimes commis à des fins essentiellement fétichistes, des autres crimes (crime passionnel, crime économiques, crime contre nature, Crime de lèse-majesté. Crime d'État. Crime de haute trahison. Crime contre la sûreté de l'État. Crime de taux. Crime de fausse monnaie. Crime contre les personnes, crime contre les propriétés etc)

Ainsi, se lancent-ils dans un débat dont-ils restent les seuls débatteurs, axé sur la sémantique. Qu'est-ce qui les gêne quand le qualificatif de "RITUEL" est associé au mot "CRIME" ? Probablement le fait que cette formulation rappelle l'objet de ces crimes qui n'est rien d'autre que celui de se servir des organes prélevés lors de ces assassinats pour la fabrication des fétiches, des potions liquides ou en poudre, et la consommation de certaines parties du corps humain, préalablement préparées en association avec des plantes, des écorces et autres espèces de bêtes et d'insectes, pour s'assurer d'un pouvoir de domination, de persuasion, de séduction et de richesses.

La puissance du diable et de ses suppôts étant dans le secret de leurs agissements, les autorités gabonaises souvent impliquées au plus haut degré dans ces crimes rituels, tentent d'imposer au peuple le silence sur ce que sont ces crimes en interdisant des manifestations visant à dénoncer ce cannibalisme moderne diaboliques et à éveiller la conscience populaire appelée à plus de vigilance et de protestation. Pour ces autorités, l’ignorance du peuple sur les faits s'y rapportant doit absolument être entretenue pour que perdurent ces crimes et que le Gabon continuent de servir d'enclos de ravitaillement en "pièce détachées" de nature humaine. Les gabonais doivent se lever pour dire d'une seule et même voix "STOP AUX CRIMES RITUELS ET A L’IMPUNITÉ DE LEURS AUTEURS" !!!

Peu de gens savent ou imaginent le calvaire que subissent les victimes de ces crimes rituels. Pour beaucoup, c'est un banal assassinat et une foi mort, les criminels prélèvent ce qu'ils désirent et abandonnent le corps dans un lieu de leur choix. Non chers lecteurs, c'est bien plus atroce et plus écœurant que ça. Et comme chaque personne résidant au Gabon, noir, jaune, rouge ou blanc est désormais un potentiel gibier, chacun devrait s'attendre, si rien n'est fait pour éradiquer ce phénomène, à finir par être charcuter vivant.

Que celui qui lit cet article, imagine qu'il soit enlevé par une bande d'assassins à la solde d'un gros bonnet en quête de pouvoir, de promotion et de richesses, à qui un marabout venu d'Afrique de l'ouest à exigé une langue retirée à un homme vivant de 18 à 35 ans. Qu'il se retrouve attaché à un arbre à sacrifice une heure après, face à ses bourreaux qui le menacent et l'entretiennent pendant des heures, de sa mort prochaine, pour augmenter sa peur et bien mettre en éveil, tout son instinct de conservation. Qu'un outil s'approche de sa langue.

Qu'il imagine que trois heures après cette torture morale et psychologique, ses mâchoires soient écartées de force avec des objets métalliques, et qu'il lui soit plantée à la langue, un gros hameçon à deux crochets, comme sur cette image, puis, qu'on la lui arrache pendant qu'il crie de douleur et que sa bouche se remplie de son propre sang et que quand la langue est bien sortie, les bourreaux, sans se presser, la lui coupe tranquillement.

Chacun devrait être conscient de ce que la prochaine victime pourrait être son fil ou sa fille, son frère ou sa sœur, sa tante ou son oncle, sa mère ou son mère, son voisin immédiat ou son meilleur ami(e). C'est pour cette raison que tous les gabonais doivent se mobiliser face à ce phénomène des crimes rituels que les autorités banalisent de puis des décennies et endeuille bon nombre de famille. "TOUS, DISONS NON AUX CRIMES RITUELS ET A L’IMPUNITÉ DE LEURS AUTEURS" !!!